L’organisme est
officiellement né le 9 janvier 2000, fête du Baptême de Jésus puis de
l’inauguration de son ministère actif d’Envoyé de Dieu le Père auprès du peuple
juif, en particulier, et de toutes les nations.
C’est la publication du premier numéro du bulletin Souffle et Vie sans frontières qui en a marqué le point de départ. Ce bulletin était né de la conviction partagée par Martin Bellerose, agent de pastorale sociale dans le quartier Ahuntsic à Montréal, Marc Baaklini, alors président du groupe de jeunes adultes Rameurs sans frontières, et l’abbé François Jacques, oeuvrant dans des paroisses du quartier Ahuntsic, qu’il était nécessaire de reconnaître et de valoriser l’apport des catholiques dans les organismes socio-communautaires du quartier, aussi qu’il fallait développer une réflexion et une formation plus axée sur la Mission.
À ce moment, François, en plus d’être vicaire paroissial à St-Paul-de-la-Croix, Ste-Madeleine Sophie-Barat et St-Charles-Garnier, animait une émission de Radio Ville-Marie auprès des jeunes adultes, qui s’intitulait Une place au soleil et qui deviendra Génération 2000.
Afin d’asseoir la formation des membres et d’en organiser le financement, un comité a été mis sur pied pour que Souffle et Vie sans frontières soit constitué en personne morale au sens de la loi. L’organisme a reçu ses Lettres patentes le 9 avril 2003 du Gouvernement du Québec, puis ultérieurement reconnu, par le Gouvernement fédéral, organisme de bienfaisance apte à recevoir des dons et à émettre des reçus dits de charité en fonction des dispositions prévues par la législation concernant les Impôts. |
Le 17 octobre 2003, François s’est réuni avec Marc Baaklini, Gino Abbondanza et Mario Descôteaux, tous trois engagés dans un milieu professionnel et apportant leur différence de par leur foi en Jésus-Christ. Ainsi surgit l’équipe de base de Souffle et Vie sans frontières qui allait petit à petit s’enrichir de membres venant d’un peu partout à Montréal, même d’ailleurs. Depuis lors, cette équipe s'est agrandie, se rencontre régulièrement et assume le leadership des diverses initiatives qui font se développer l’organisme en vue de la Mission évangélisatrice, du moins celle qui est à la portée de chacune, chacun ainsi que du groupe. En 2006, un vaste logement situé sur rue De Louvain est, à Montréal, sert de siège social et de lieu de rencontre pour l’ensemble des activités. |
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Le retrait des Frères de St-Gabriel de la Marche du pardon nord-sud de Montréal a beaucoup interpellé notre organisme, au point de décider à nous engager à la poursuivre, dès l’année suivante, soit en 2011: Leadership assumé dans l'esprit d'une manifestation populaire de foi, sur la rue. |